Les 24, 25 et 26 juin 2011, le Mont Ventoux a de nouveau rendez-vous avec sa riche histoire automobile et, comme en 2009, les moteurs vont vrombir à nouveau jusqu’au sommet du Géant de Provence à l’occasion de la Ronde du Ventoux Optic 2ooo.

La rétrospective de la célèbre course de côte née en 1902, organisée par Peter Auto et l’ASAC Vauclusien, proposera six montées en épreuve spéciale depuis le virage de Saint Estève jusqu’au sommet du Mont Chauve, seize kilomètres plus loin, et la descente vers Bédoin via Malaucène ; soit une plaisante boucle d’environ 50 kilomètres qui évite une attente inutile pour retourner au départ en un ennuyeux convoi.

Deux catégories -Compétition & Régularité-sont proposées. Le classement, privilégiant les voitures les plus anciennes, seule une voiture construite avant 1966 pourra prétendre à remporter le classement général.

Un nouveau défi au Mont Chauve qui, en 2009, avait une fois de plus voulu prouver qu’il restait le maître chez lui, interrompant -au mois de juin !- la bataille des chronos lors de la seconde spéciale par un violent orage de grêle recouvrant le parcours en quelques instants de 5 centimètres de glace, le tout enveloppé d’un brouillard "à couper au couteau" !

Mais le dimanche, le soleil avait repris ses droits et la compétition a, elle, repris son cours. Un tribut normal au superbe plateau qui rassemblait nombre de pièces exceptionnelles et de raretés -Bugatti 59 "Roi des Belges", Ford GT40 ex-Le Mans, Ferrari 250 GTO pour ne citer qu’elles-, sans oublier la doyenne de l’épreuve, une Darmont à trois roues de 1930. Qui dit mieux pour 2011 ?

Le bulletin de participation est à renvoyer avant le 15 mars 2011

Vous pouvez désormais trouver sur le site www.rondeduventoux.com, les horaires du week-end ainsi que la première liste provisoire des engagés.

Organisation :
Peter Auto et ASAC Vauclusien
Peter Auto - 103,rue Lamarck
75018 Paris - France
Tel : +33 (0)1 42 59 73 40
Fax : +33 (0)1 42 59 48 28
Email pour les concurrents
Email pour le public
www.rondeduventoux.com

Crédits photos : Jeroen Peeters